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20 août 2012

3 août 1492. Sans les berbères, Colomb n'aurait jamais découvert l'Amérique.

Selon un article du magazine français Le Point, Martín Alonso Pinzón, le chef de la principale famille d'armateurs de Palos (aujourd’hui Huelva) d’où Colomb s’est élancé à l’assaut de l’Atlantique pensant rallier les Indes par l’Ouest, est un berbère.

C’est lui, d’après Le Point.fr  qui raconte cette folle épopée, qui a armé la flotte de Colomb des trois célèbres Caravelle : La Santa Maria, la Nina (commandée par Vicente Alonso Pinzón, frère de Martin) et la Pinta (commandée par Martin lui-même).

Alors qu’il désepérait de trouver des navires et un équipage expérimenté pour son expédition, «miracle, un beau jour, Colomb reçoit la visite de Martín Alonso Pinzón, le chef de la principale famille d'armateurs de Palos, d'origine berbère. L'homme a bien réfléchi, il se dit que, si Colomb a raison en cherchant les Indes à l'ouest, c'est la fortune assurée. Il décide de tenter le coup en lui proposant une association. Dès lors, c'est du gâteau, Pinzón fournit deux caravelles de belle allure… » raconte Le Point.fr.

En raison d’une avarie, les navires accostent aux Canaries ou ils trouvent l'aide d'une femme berbère : Doña Beatriz de Bobadilla.
«Les deux frères Pinzón proposent à Colomb de faire escale à La Gomera, île gouvernée par leurs cousins les Gomeros, où ils sont accueillis le 11 août 1492 par Doña Beatriz de Bobadilla (ou de Bouabdallah). Les trois caravelles sont chargées de fruits et d'animaux vivants. Quelques volontaires dans la famille des Gomeros se joignent à l'expédition».
Le début d’une aventure sans précédent dans l’histoire des conquêtes humaines…


Les Chroniques du [CyberKabyle].