“Beaucoup d’amis m’ont envoyé des textos pour me dire qu’ils avaient été choqués par mon engagement au MNLA. Je veux leur dire que je reste un homme épris de paix et de liberté. C’est au nom de ces valeurs que j’ai adhéré à ce mouvement.”
Titulaire d’un master en management du développement et communication acquis en France, ce trentenaire qui est aussi journaliste est chargé de la communication et des affaires humanitaires au sein du Mouvement national de libération de l’Azawad (MNLA). “Je ne peux pas rester passif face à la destruction de mon peuple sous prétexte que je suis un pacifiste.”
Les Chroniques du [CyberKabyle].